Dans un arrêt rendu récemment, la Cour de cassation a estimé que l'omission de la date de signature dans une rupture conventionnelle entraînait sa nullité au motif que l'absence de détermination du point de départ du droit de rétractation constitue une atteinte à la garantie fondamentale du consentement des deux parties (Cass.soc., 27 mars 2019, n°17-23.586).